2022
- Description (détaillée) de la revue
- Consignes aux auteurs
- Format
- Longueur
- Composition
- Appel à contributions
Description (détaillée) de la revue
Selon le site de la revue “cette revue a été initiée par Kassandra Goni et Elia Verdon. Au gré de discussions sur leurs thèses respectives, l’idée de monter un projet multidisciplinaire autour de la notion de crise a émergé. S’inspirant notamment des travaux fondateurs des Surveillance Studies, [•••], l’idée de la revue Crises et Société prenait forme.
La juxtaposition de ces termes centraux se justifie par la volonté de créer une dynamique de discussions entre chercheurs et chercheuses de disciplines variées, ce qu’implique la notion de société, qui transcende les clivages disciplinaires. Assez naturellement, l’idée de travailler sur les crises a percé, du fait du contexte sanitaire et de leurs thèses respectives. Ne souhaitant pas s’enfermer dans une thématique [•••], elles ont décidé d’élargir la conception de crise [•••].
C’est ainsi que le projet de la revue Crises et Société, multidisciplinaire et ouvert, a vu le jour. Doctorantes au CERCCLE [•••], elles ont présenté cette idée à la direction – le Pr Fabrice Hourquebie. Enchanté par cette idée, il les a aidé à mettre en mouvement ce projet. Confortées par cet accueil favorable, elles ont pu alors recruter des chefs [•••] de chroniques, et étoffer la direction de la revue en accueillant Alexandre Frambéry-Iacobone.
La notion de crise et son appréhension multidisciplinaire
La notion de crise est intéressante en ce qu’elle permet de réunir chercheurs et chercheuses qui sont, de manière presque continuelle, confronté·es à la crise dans leurs travaux. C’est donc assez volontairement que cette notion n’est pas définie dans le cadre de la revue, laissant le soin aux chercheurs et chercheuses de préciser, au fil des appels et de leurs articles, d’expliquer ce qui constitue une « crise » dans leur champ d’étude, que ce soit en histoire contemporaine, en droit, en science des organisations, en urbanisme, etc.
Format de la revue
Dans un souci de simplicité, mais aussi et surtout de modernité et de diffusion large et gratuite du savoir, nous avons choisi un format électronique, ce qui ne fait pas obstacle à une diffusion papier en parallèle par la suite.
Trop souvent, les revues électroniques ont pu être taxées de peu scientifiquement solides. Pour faire barrage à ce constat, le Comité de scientifique et le Comité de lecture ne sont pas composés de doctorants et doctorantes. Les doctorants sont en charge de l’organisation, mais ne s’occupent pas, ou du moins pas principalement, des aspects scientifiques. De surcroît, nous avons fixé un processus éditorial et des normes éditoriales qui répondent aux standards des revues en ligne les plus rigoureuses. Dans les grandes lignes, les articles font l’objet d’une évaluation en double-aveugle, par des pairs”.
Consignes aux auteurs
Importante précision : la revue fonctionne sur des appels à contributions donc par cycle.
Format
Les textes doivent se présenter sous la forme de fichiers Word, LibreOffice ou OpenOffice, en sélectionnant le français comme langue par défaut (menu Outils / Langue). Police : Times New Roman, taille 12, espacement simple, justifié.
Longueur
Les articles peuvent aller de 25 000 à 80 000 signes, espaces, notes, références bibliographiques et tableaux compris.
Composition
Les articles doivent être composés comme suit :
– Titre
– Résumés : en français et en anglais, chaque résumé ne dépassant pas 600 caractères, espaces comprises.
– Cinq mots-clefs : en français et en anglais.
– Texte de l’article respectant les règles de mise en forme.
– Signature de l’auteur : prénom, nom, rattachement institutionnel, adresse électronique.
À noter qu’à la différence des articles, les chroniques ne font pas l’objet d’une évaluation par le Comité scientifique.
Les consignes détaillées sont accessibles ici.
Appel à contributions
Le délai pour le dernier appel à contributions est dépassé.
En savoir plus : Site de la revue et Mir@bel.